Face aux difficultés que rencontrent les jeunes auteurs pour éditer leurs manuscrits, une tendance s’affirme peu à peu : l’auto édition de livres. Si, sur le papier, cette alternative parait alléchante, les faits, eux, démontrent un système très chronophage, mais surtout, rarement rentable.
PROMOTION : profitez d’une offre exceptionnelle sur la dernière trilogie de Claude François, appelé Cloclo !
Articles de presse ou reportages télé l’évoquent sur un ton optimiste et prometteur. « Nouvelle révolution des livres » ou « eldorado », les remarques élogieuses ne manquent pas. Avec, comme exemples à la clé, des auteurs qui ont su percer en tant qu’ « auteur entrepreneur », devenir son propre éditeur séduit.
Les avantages sont réels. Contrairement aux écrivains qui font appel aux maisons d’édition classiques, l’auto éditeur ne rémunère aucun intermédiaire, puisqu’il réalise l’entièreté de son ouvrage. Encore faut-il se faire connaitre et réussir à vendre.
Car toute cette production possède un coût non négligeable. Les frais d’impression et l’aspect technique de la conception du livre (infographie, droits légaux d’enregistrement) sont en effet à la charge de l’auteur – éditeur – concepteur du manuscrit.
D’autre part, le moindre faux pas dans ces étapes délicates réduira toute espérance de réussite. La raison est simple : une couverture peu attrayante, une typographie non adaptée ou une reliure fragile repousseront le moindre lecteur. Si l’aspect extérieur laisse à désirer, le lecteur a de grande chance de se dire qu’il en sera de même pour le contenu.
Par conséquent, faire appel à une maison d’édition française (notamment en ligne) vous permettra de bénéficier d’une expertise professionnelle pour vos phases d’impression, de diffusion ainsi que d’un réseau de distribution efficient.